Revêtant une place essentielle, pour l’espace qu’elle occupe (110 000 ha, soit 78 % du territoire) et son poids économique, l’activité agricole constitue un élément fort du patrimoine et des paysages.
Les importants besoins en eau sont majoritairement assurés via les transferts d’eau brute depuis la Durance : canaux de la Durance (Saint-Julien, Manosque, etc.) ou via des canalisations sous-pression (Société du Canal de Provence, etc.).
Certains secteurs, non sécurisés, sont irrigués à partir de prélèvements individuels sur la ressource locale. Plus localement, des variétés sont cultivées en sec.
“Je mange local pour encourager une agriculture
durable, garante de la qualité des paysages
et de la biodiversité.”
Sur les bassins versants déficitaires du Luberon, il est préconisé de réduire les prélèvements tous usages confondus. Dans ce cadre, les irrigants se sont engagés avec l’aide des chambres d’agriculture du Vaucluse et des Alpes-de-Haute-Provence à :