Dans le Luberon, certains réseaux présentent des pertes pouvant atteindre plus de 50 %.
Les petites communes sont principalement concernées car contraintes de réparer leurs fuites au coup par coup.
Améliorer son rendement nécessite une gestion patrimoniale et une capacité financière suffisante pour investir dans de nouveaux équipements.
Certes, l’eau fuyarde retourne dans le milieu naturel, mais c’est autant d’eau détournée d’une source, qui a été traitée dans la plupart des cas, et qui est potentiellement polluée.
L’économie d’eau sur les rendements des réseaux permettrait de compenser en partie la hausse des volumes prélevés due à l’évolution démographique.
Les collectivités consomment de l’eau pour alimenter les lieux publics tels que les bureaux, salles des fêtes, écoles, gymnases, etc., mais aussi pour arroser des terrains de sport, des espaces verts …
En tant que consommateur, elles peuvent engager diverses actions (équipements, formation, communication, etc.) pour réduire leur consommation et réduire ainsi leurs dépenses.
“L’eau du robinet sur le territoire est potable, n’hésitez pas
à la consommer !”